JÉSUS NOTRE PAIX ET NOTRE ESPÉRANCE

Le temps de l’Avent et le temps de Noël forment un chemin spirituel unique au cœur de l’année liturgique. Ce n’est pas seulement une période de préparatifs et de fêtes : c’est un itinéraire de foi, d’espérance et de conversion. Dans un monde secoué par la violence, la peur et la perte de repères, l’Église nous invite à redécouvrir la lumière qui jaillit de la crèche : Jésus, notre paix et notre espérance.

L’Avent ouvre l’année liturgique comme une aurore. Il n’est pas un simple compte à rebours avant Noël, mais un temps d’attente habitée : attendre Celui qui vient. Le prophète Isaïe en est la grande voix : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière » (Is 9,1). Aujourd’hui encore, notre humanité marche souvent dans les ténèbres : guerres, violences, divisions, crises économiques et écologiques. Beaucoup se sentent perdus, sans repères. L’Avent nous rappelle que Dieu ne reste pas indifférent à nos détresses. Il vient à notre rencontre, non dans la puissance, mais dans la douceur et la fragilité d’un enfant. Attendre le Seigneur, c’est espérer activement : veiller, prier, poser des gestes de justice et de fraternité. Comme Jean-Baptiste, nous sommes appelés à « préparer le chemin du Seigneur » (Lc 3,4) dans nos cœurs et dans notre monde.

A la nuit de Noël, Dieu se fait proche. Il vient habiter notre humanité dans la personne de Jésus, l’Emmanuel – Dieu avec nous (Mt 1,23). Dans une étable, loin des projecteurs du monde, un enfant fragile devient le signe d’un amour infini. Cet enfant n’est pas un simple symbole de bonté ou d’innocence : il est le Prince de la Paix (Is 9,5). Dans un monde où la paix semble chaque jour plus fragile, où les violences et les haines se multiplient, Noël nous rappelle que la vraie paix ne se construit pas par la force des armes, mais par la force de l’amour. Jésus ne vient pas imposer la paix, il l’offre comme un don à ceux qui l’accueillent : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jn 14,27).

La crèche devient ainsi un lieu de contemplation et de conversion : en regardant cet enfant, nous découvrons le visage d’un Dieu qui partage nos fragilités et qui nous invite à devenir artisans de paix. Puissions-nous, frères et sœurs, en ce temps d’Avent et de Noël, laisser la présence de Jésus illuminer nos ténèbres et faire de nous des témoins de sa paix. En accueillant sa lumière, nous devenons à notre tour, porteur d’espérance dans le monde. car la lumière est plus forte que les ténèbres, et que l’amour est plus fort que la haine. Accueillir Jésus, c’est accueillir la paix dans nos cœurs, dans nos familles, dans nos communautés. Que l’enfant Jésus soit notre paix et notre espérance. Joyeux Noël à tous !

Alexandre Giron. Curé Val et Vins

Adm : Camps la Source et La Celle 

Publié le 29 novembre 2025

JÉSUS NOTRE PAIX ET NOTRE ESPÉRANCE

Le temps de l’Avent et le temps de Noël forment un chemin spirituel unique au cœur de l’année liturgique. Ce n’est pas seulement une période de préparatifs et de fêtes : c’est un itinéraire de foi, d’espérance et de conversion. Dans un monde secoué par la violence, la peur et la perte de repères, l’Église nous invite à redécouvrir la lumière qui jaillit de la crèche : Jésus, notre paix et notre espérance.

L’Avent ouvre l’année liturgique comme une aurore. Il n’est pas un simple compte à rebours avant Noël, mais un temps d’attente habitée : attendre Celui qui vient. Le prophète Isaïe en est la grande voix : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière » (Is 9,1). Aujourd’hui encore, notre humanité marche souvent dans les ténèbres : guerres, violences, divisions, crises économiques et écologiques. Beaucoup se sentent perdus, sans repères. L’Avent nous rappelle que Dieu ne reste pas indifférent à nos détresses. Il vient à notre rencontre, non dans la puissance, mais dans la douceur et la fragilité d’un enfant. Attendre le Seigneur, c’est espérer activement : veiller, prier, poser des gestes de justice et de fraternité. Comme Jean-Baptiste, nous sommes appelés à « préparer le chemin du Seigneur » (Lc 3,4) dans nos cœurs et dans notre monde.

A la nuit de Noël, Dieu se fait proche. Il vient habiter notre humanité dans la personne de Jésus, l’Emmanuel – Dieu avec nous (Mt 1,23). Dans une étable, loin des projecteurs du monde, un enfant fragile devient le signe d’un amour infini. Cet enfant n’est pas un simple symbole de bonté ou d’innocence : il est le Prince de la Paix (Is 9,5). Dans un monde où la paix semble chaque jour plus fragile, où les violences et les haines se multiplient, Noël nous rappelle que la vraie paix ne se construit pas par la force des armes, mais par la force de l’amour. Jésus ne vient pas imposer la paix, il l’offre comme un don à ceux qui l’accueillent : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jn 14,27).

La crèche devient ainsi un lieu de contemplation et de conversion : en regardant cet enfant, nous découvrons le visage d’un Dieu qui partage nos fragilités et qui nous invite à devenir artisans de paix. Puissions-nous, frères et sœurs, en ce temps d’Avent et de Noël, laisser la présence de Jésus illuminer nos ténèbres et faire de nous des témoins de sa paix. En accueillant sa lumière, nous devenons à notre tour, porteur d’espérance dans le monde. car la lumière est plus forte que les ténèbres, et que l’amour est plus fort que la haine. Accueillir Jésus, c’est accueillir la paix dans nos cœurs, dans nos familles, dans nos communautés. Que l’enfant Jésus soit notre paix et notre espérance. Joyeux Noël à tous !

Alexandre Giron. Curé Val et Vins

Adm : Camps la Source et La Celle 

Publié le 29 novembre 2025

JÉSUS NOTRE PAIX ET NOTRE ESPÉRANCE

Le temps de l’Avent et le temps de Noël forment un chemin spirituel unique au cœur de l’année liturgique. Ce n’est pas seulement une période de préparatifs et de fêtes : c’est un itinéraire de foi, d’espérance et de conversion. Dans un monde secoué par la violence, la peur et la perte de repères, l’Église nous invite à redécouvrir la lumière qui jaillit de la crèche : Jésus, notre paix et notre espérance.

L’Avent ouvre l’année liturgique comme une aurore. Il n’est pas un simple compte à rebours avant Noël, mais un temps d’attente habitée : attendre Celui qui vient. Le prophète Isaïe en est la grande voix : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière » (Is 9,1). Aujourd’hui encore, notre humanité marche souvent dans les ténèbres : guerres, violences, divisions, crises économiques et écologiques. Beaucoup se sentent perdus, sans repères. L’Avent nous rappelle que Dieu ne reste pas indifférent à nos détresses. Il vient à notre rencontre, non dans la puissance, mais dans la douceur et la fragilité d’un enfant. Attendre le Seigneur, c’est espérer activement : veiller, prier, poser des gestes de justice et de fraternité. Comme Jean-Baptiste, nous sommes appelés à « préparer le chemin du Seigneur » (Lc 3,4) dans nos cœurs et dans notre monde.

A la nuit de Noël, Dieu se fait proche. Il vient habiter notre humanité dans la personne de Jésus, l’Emmanuel – Dieu avec nous (Mt 1,23). Dans une étable, loin des projecteurs du monde, un enfant fragile devient le signe d’un amour infini. Cet enfant n’est pas un simple symbole de bonté ou d’innocence : il est le Prince de la Paix (Is 9,5). Dans un monde où la paix semble chaque jour plus fragile, où les violences et les haines se multiplient, Noël nous rappelle que la vraie paix ne se construit pas par la force des armes, mais par la force de l’amour. Jésus ne vient pas imposer la paix, il l’offre comme un don à ceux qui l’accueillent : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jn 14,27).

La crèche devient ainsi un lieu de contemplation et de conversion : en regardant cet enfant, nous découvrons le visage d’un Dieu qui partage nos fragilités et qui nous invite à devenir artisans de paix. Puissions-nous, frères et sœurs, en ce temps d’Avent et de Noël, laisser la présence de Jésus illuminer nos ténèbres et faire de nous des témoins de sa paix. En accueillant sa lumière, nous devenons à notre tour, porteur d’espérance dans le monde. car la lumière est plus forte que les ténèbres, et que l’amour est plus fort que la haine. Accueillir Jésus, c’est accueillir la paix dans nos cœurs, dans nos familles, dans nos communautés. Que l’enfant Jésus soit notre paix et notre espérance. Joyeux Noël à tous !

Alexandre Giron. Curé Val et Vins

Adm : Camps la Source et La Celle 

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Publié le 29 novembre 2025